Bon reprenons
ces insectes volants qui par ces chaudes t° sont comme nos petits vieux qui supportent pas la canicule alors dans un remake de Pearl Harbour ou de Guadalcanal ils se prennent pour des zéros japonais et dans un dernier sursaut de volonté suicidaires se jettent en hurlant tels des stukas sur nous et nos infortunées montures.N’épargnant alors pas vos dents, si vous roulez visières ouvertes
celle ci si elle est fermée, et bien sur votre heaume protecteur.Mais ces insectes au demeurant placides par temps cléments s'en prennent aussi au PB pour ceux qui en ont, les prenant alors pour des portes avions et voulant y occasionner des dégâts irréversibles
Mais c'est sans compter sur notre volonté, notre pugnacité, de ne pas supporter l’insupportable, notre instincts de survie, et nous en avons vu alors adopter des conduites bizarres lâchant temporairement les guidons pour faire de grands moulinets tel don Quichotte, d'autres plus joueurs évitant les volatils hurlants avec des trajectoires incertaines
Rien n'y fait ces petits monstres ailés s'écrasent encore et encore sur nos belles immaculées si si certaines sont propres
Il nous faut alors accepter l'inacceptable, les corps démembrés de ces monstres ailés gisant les tripes à l'air sur nos montures chéries, faisant de leurs sang des idiomes compris seulement par les extras terrestres
Armés bien malgré nous d’un pulvérisateur, dans lequel nous aurons pris le soin de mettre un savon, une lessive si possible au Ph neutre, nous arroserons ces lambeaux de chairs, témoignage de la folie des hommes à aller plus vite que les moucherons; puis délicatement avec un chiffon le plus doux possibles pour épargner nos visières, nos casques et autres surfaces ayant subies l'outrage infâme du sacrifice ultime, nous évacuerons avec tous le respect qui se doit les restes des pauvres sacrifiés
Ici Londres a vous Capa
