Lieu d'échange ou de partage autour de la marque MOTO GUZZI en particulier et de la moto en général, sous le signe indubitable de l'humour et de la bonne humeur !
Trois ans après son acquisition par Aprilia, Guzzi a développé un V75ie, servant de base aux 750 Bréva & Névada.
Sous l'ère Piaggio ont suivi les V7 Classic & dérivées (Special - Stone & Racer), avec l'arrivée en 2012 d'une nouvelle motorisation et de diverses variantes autour de ce petit bloc fort sympatoche... Puis sont dévoilées les nouveautés 2016 ; les V9 et en cette fin 2017, la toute nouvelle V85 et enfin, la V7 "850" sortie en 2021, via les sous-forum dédiés !
La question posée initialement m'intéresse particulièrement, vu qu'on entends tout et son contraire à ce sujet.
JiCE04 a écrit : ↑jeu. 11 déc. 2025, 13:46
Je viens d'acheter la mienne à 45000Kms (V7 STone de 2014), l'embrayage a été refait à 44500kms pour la vente.
Il a été changé préventivement, ou parce qu'il était à bout de souffle? Tu as vu l'ancien disque, par curiosité?
À part ma BSA,je n'ai jamais eu à changer d'embrayage...et bien sûr tout est question de la façon de conduire...
Pour celle d'AlainR,45000 km ,ça me semble rapide .....sauf si effectivement que de la ville.....
Aucun signe de fatigue de l'embrayage de ma V7 (qui approche les 50 000 km), et sur les BM qui l'ont précédé, qui ont totalisé chacune entre 100 et 150 000 km, je n'ai jamais vu le bout des embrayages à sec. La seule fois où j'en ai démonté un un, c'était pour accéder à l'arbre de sortie moteur.
Et ma précédente voiture, une brave Clio III, a aligné 350 000 km avant que l'embrayage, à sec lui aussi, soit bon à remplacer.
Je ne suis donc pas trop inquiet.
Mais il est vrai que la façon de s'en servir influe énormément.
Chi va piano va sano e va lontano...
V7 III Special 2017